ETUDE DES INTERVENANTS DU PROJET
Nous nous appuyons ici sur le modèle des « quatre corps » proposé par Cauvin (1989) qui décrit les rapports de pouvoir que peut avoir une institution intervenant dans le champ du développement social. Il défini quatre groupes d’acteurs principaux :
Système externe |
Système interne |
|
Système collecteur de ressources |
Fournisseurs de ressources |
Transformateurs de ressources |
Système producteur de services |
Utilisateurs de services |
Producteurs de services |
Chacun de ces acteurs a une relation particulière avec l’autre. La qualité de fonctionnement de la structure dépend, dans une large mesure, de la nature de ces relations. Pour Gaulejac et al. (1989), « la qualité du service dépend avant tout de la capacité du prestataire de prendre en compte les « besoins » des utilisateurs, de se mettre à l’écoute de la demande, d’adapter le service aux situations spécifiques des différents usagers ». On comprend alors aisément ici le rôle des politiques de communication que nous aborderons dans la dernière partie.
En plus d’une analyse et du diagnostic de l’environnement du projet, la définition des objectifs d’un programme dépend donc aussi grandement de la concertation entre les différents acteurs impliqués dans l’action. Cette collaboration permettra de s’assurer du caractère réalisable des objectifs, et des moyens disponibles pour les atteindre. Les objectifs du projet devront satisfaire chacun des acteurs qui engageront ensuite leur savoir-faire et leur motivation.
Rentrent alors en jeu :
Le domaine dans lequel s’inscrit un projet tend très souvent à s’élargir vers de nouveaux champs d’activités. Dans le cadre de l’ouverture d’une mission de santé mentale par exemple, les intervenants sont souvent nombreux et d’origines très diverses. Ils peuvent provenir du secteur médical et universitaire, mais aussi du monde de l’éducation, de structures associatives, juridiques, administratives… parfois même religieuses.
La recherche peut s’effectuer de plusieurs façons : avec des contacts officiels impliquant les autorités gouvernementales locales ou les représentations diplomatiques, mais aussi les organismes et associations travaillant déjà dans le pays (ONG nationales ou étrangères, agences des Nations Unies (OMS, UNICEF, HCR…)), ou avec des contacts individuels, c’est à dire directement auprès de la population ainsi qu’auprès d’associations, de groupes de personnes, des représentants de populations particulières (immigrées, réfugiées, HIV…).
Il est également important pour la conduite de projet, de veiller à articuler les autres intervenants provenant d’autres domaines.
Dans le cadre d’un projet de développement d’un programme de psychologie, il est évidemment indispensable de rencontrer les acteurs évoluant au sein du système de santé. Organiser l’accès à des soins de proximité demande d’être en lien avec le système de soins primaire, la médecine générale, mais aussi avec des entités spécialisées, comme des hôpitaux psychiatriques. Il s’agit donc de connaître les modalités de fonctionnement propres à ces systèmes (système de référence, inventaire des structures existantes, programmes nationaux, applications locales, accessibilité aux soins de la population, type de la formation suivie par les professionnels, personnel et matériel disponible…).
Aussi, quand il s’agit d’enfants, les écoles sont des lieux où se repèrent souvent les troubles d’ordre psychologiques, il est alors logique d’avoir une relation privilégiée avec les enseignants, d’entendre leurs besoins, et de les sensibiliser aux actions et aux objectifs de notre projet. Une collaboration de ce type, basée sur l’échange d’informations et l’entraide, doit également se mettre en place avec d’autres structures sociales des centres d’aide (toxicomanie, prostitution, délinquance), des services juridiques, des associations, des ONG présentes sur le terrain…
Enfin, il s’agit de s’intéresser aux possibles programmes de coopérations internationales pré-existants dans le domaine de la psychologie clinique : conférences et colloques, associations, coopération universitaires, projets de pratique de psychologie clinique…
Nous verrons plus tard quelles actions proposer pour aménager une collaboration efficace inter-disciplinaire. Pour le moment, il s’agit d’établir un contact avec ces professionnels pour identifier leurs difficultés et leurs éventuelles demandes, et recueillir le maximum d’informations pour concevoir un plan d’action.
Le ou les bailleurs de fonds du projet sont un élément primordial à prendre en compte dans tout projet de santé mentale.
Ils peuvent être de plusieurs types : gouvernement, universités ou écoles, agences de services sociaux, entreprises, associations, organisations non-gouvernementales, fondations publiques et privées… A travers le versement de subventions financières ou en nature, le bailleur pourra ou non souhaiter participer au développement du projet, et demander un pouvoir décisionnel.
Les relations entre bailleurs, partenaires, et exécutants du projet seront la plupart du temps consignés dans un document (fiche de mission, contrat…) qui devra grâce à sa précision définir les responsabilités de chacun.
La position du travailleur expatrié est suffisamment originale et spécifique, spécialement dans le cadre d’une mission en psychologie clinique, pour que nous souhaitions la développer plus largement. Evidemment, le travail humanitaire dépendra du cadre de la mission , de ses objectifs, du pays et de la situation socio-culturelle, de l’équipe… mais malgré ces nombreuses différences, on peut trouver quelques facteurs communs aux différents projets humanitaires.
En s’appuyant sur une enquête réalisée en 1997 portant sur le vécu d’anciens coopérants, (coopérants dans le cadre du service national et volontaires civils), il apparait qu’ils sont « unanimes » pour juger cette expérience comme ayant marqué leur vie : « tous (97%) affirment l’importance de leur temps en coopération d’abord vis-à-vis d’eux-mêmes. Aujourd’hui encore, ils en mesurent l’importance dans leur vie professionnelle (53%), dans l’exercice de leur rôle de citoyen (47%) ou dans l’éducation de leurs enfants (36%). Cette expérience continue à influencer nombre de leurs attitudes, en premier lieu leur relation à l’autre (80%), puis à l’égard de la qualité de la vie (48%). Leurs comportements ont été modifiés en profondeur, ils sont devenus plus ouverts à d’autres cultures (91%), plus accueillants pour les étrangers (59%), plus tolérants pour d’autres religions (54%) » . L’expérience du volontaire-coopérant aura été pour lui l’expérience de «progresser lui-même (67%) » .
Mais si cette expérience parait si riche au final, on peut s’interroger sur différents points qui caractérisent le travailleur expatrié : leurs motivations et leurs ressources.
i) Les motivations des volontaires
Pour essayer de mieux comprendre l’engagement humanitaire, on peut s’intéresser brièvement sur leurs différentes motivations des volontaires. Une synthèse documentaire portant sur « l’engagement des jeunes dans l’humanitaire et le développement », réalisée en 1997, a permis de recenser les principales motivations avancées par les futurs volontaires :
i.a Partir
Les futurs volontaires mettent en avant l’importance pour eux de quitter leur pays, de « partir », souvent loin de préférence, afin de pouvoir découvrir d’autres pays, de nouvelles cultures, rencontrer d’autres personnes, s’exposer à la différence, à d’autres modes de vie… bref au dépaysement.
Pour Materne (2005), le départ du volontaire est « chargé de rêves et d’attentes quant à l’insertion dans un cadre culturel nouveau et reflète aussi une manière de sortir d’une condition banale pour accéder à une condition moins ordinaire » . On peut s’interroger bien-sur aux raisons personnelles, avouées ou non, qui peuvent motiver se désir d’ailleurs. Nous renvoyons ici le lecteur à notre mémoire de fin d’études réalisé en 2003 sur un thème proche de celui-ci.
i.b Aider
La dimension altruiste est également largement citée : aider les autres et se rendre utile permet alors au volontaire, selon Rive (1997), de « donner un sens à sa vie » . L’image de l’humanitaire reste encore hautement valorisé, ravivant de nombreuses représentations : Pour Ruffin (1994), « aujourd’hui encore, même si le contexte politique et les institutions humanitaires ont changé, la figure du médecin de brousse reste très certainement dans les consciences une sorte de modèle de sainteté laïque qui continue de fasciner et peut-être de susciter des vocations » . Ici aussi, on peut s’interroger sur les nouvelles valeurs que recherche le futur volontaire, sur ses motivations inconscientes d’aider l’autre, qui renvoient à la notion du « mythe personnel » du thérapeute de Enriquez, ou encore d’ « altruisme » de Moscovici .
i.c Servir sa propre carrière professionnelle
Contrairement à ce que l’on pouvait penser auparavant, la démarche humanitaire devient aujourd’hui une véritable expérience professionnelle qui pour nombre de futurs volontaires, permet de connaitre des opportunités et des situations de terrain reconnues. Aussi, pour certains, une mission humanitaire permet d’obtenir un premier emploi à l’étranger, parfois avec des responsabilités accrues. D’autres y verront le moyen de conserver la même activité mais de la réaliser différemment dans un nouveau cadre.
Aussi, un travail dans l’humanitaire apparait donc une comme une expérience enrichissante pour le parcours professionnel mais il semble que cela ne peut pas en être la principale motivation. Si Ryfman (2004) pense que « les 25/30 ans, peuvent y trouver l’occasion d’y exercer rapidement de lourdes et motivantes responsabilités, qui seraient valorisables ensuite dans un cursus professionnel » , il ajoute, Ryfman (1999), que « « celles et ceux qui y cherchent argent, promotion, reconnaissance sociale, déchantent très vite, et n’y font en général qu’un passage éclair » .
i.d Fuir une réalité
Un désir de se dégager d’une réalité jugée non satisfaisante peut aussi motiver le choix d’un engagement dans l’humanitaire. Cette motivation n’est pas forcément explicite dans le discours du futur volontaire, mais elle peut parfois être mise en évidence. « Parfois l’engagement dans l’humanitaire ou le développement peut être simplement une pause dans la fuite en avant des études qui déresponsabilisent, un break pour un besoin de prendre le temps pour en apprendre sur soi-même » . Cette réalité peut ainsi recouvrir plusieurs thèmes (ordre professionnel, (chômage, difficulté à se confronter à la recherche d’un premier emploi…) et/ou personnelle (rupture sentimentale, difficultés relationnelles, deuil…)). Nous renvoyons ici le lecteur à notre mémoire de fin d’études réalisé en 2003 sur un thème proche de celui-ci.
ii) Les ressources personnelles
Aussi, une autre étude réalisée en 1994 a permis d’isoler quatre domaines privilégiés dans l’expression des ressources des volontaires.
ii.a Le regard sur leur passé
Face aux recruteurs, les futurs volontaires expriment tout d’abord leurs atouts et leur crédibilité en s’appuyant sur leur expérience passée. Ils ont pu participer à des organisations sociales (associations, ONG…), religieuses (mouvements religieux, scoutisme…), sportives ou encore artistiques… et mettent souvent avant l’« esprit d’équipe ». D’autres insisteront sur leur expérience interculturelle et leur goût pour l’autre (voyages, expatriations…). De manière générale, l’expérience passée est de plus en plus individuelle et spécialisée, et « le langage sur l’expérience devient de plus en plus professionnel ».
ii.b L’image du SudLa motivation fait souvent intervenir un constat sur les relations Nord-Sud et un regret sur la situation des pays de développement. Le discours marqué auparavant par un langage missionnaire ou encore utopiste a aujourd’hui laissé la place à un désir de partir avec une structure d’aide organisée, particulièrement mis en valeur par la médiatisation du terme « humanitaire ». La formation et l’expérience sont alors des caractéristiques valorisées et mises en avant par les candidats.
ii.c Le regard sur soiPour justifier leur motivation pour partir, les candidats vont présenter leurs qualités et ressources personnelles qu’ils pensent détenir. Aujourd’hui le discours entendu est alors organisé autour d’une empathie pour le monde de l’entreprise, l’ouverture d’esprit, les qualités de communication et les capacités de management…
ii.d Le développement personnelEnfin, l’enrichissement personnel est une des caractéristiques fréquemment citée, inscrivant l’expérience humanitaire dans un « projet de vie ». Les différentes expressions de la motivation du volontaire peuvent alors, à travers une « expérience concrète et formatrice », viser une quête de soi, une quête d’un ailleurs et d’une sorte de « voyage initiatique » , véritable apprentissage de la vie, voire d’une seconde naissance.
Citons enfin que ces thèmes sont ceux avoués lors de la phase de recrutement, et que sans connaitre leur véracité ou leurs nuances, ils peuvent tout de même renseigner sur les représentations qui existent autour du travailleur humanitaire. Aussi, ces motivations seront irrémédiablement amenées à changer ou tout du moins à évoluer lors du départ du volontaire et la rencontre de la réalité de la mission. Ainsi, « une motivation au départ n’est jamais la même à l’arrivée, elle se modèle au contact du réel quand le rêve devient la réalité quotidienne du volontaire » . Il peut alors être intéressant de se pencher sur le ressenti d’anciens volontaires.
Références:
Bosc, N. (2003). Etude psychologique du voyageur au long cours : sentiment océanique et émotions de l’ailleurs. Mémoire de DESS. Ecole de Psychologue Praticiens. Paris.
Délégation Catholique pour la Coopération. (1997). Enquête auprès d’anciens coopérants : opération « appel à témoins » réalisée par le Réseau d’anciens volontaires DCC. Paris.
Materne, F. (1995). Le second départ. Strasbourg : Cefode Forum.
Moscovici, S. (1994). Psychologie sociale et des relations à autrui. Paris: Nathan.
Rive, M. (1997). L’engagement des jeunes dans l’humanitaire et le développement : synthèse documentaire. Laval : Crides Ritimo.
Rufin, J.C. (1994). L’aventure humanitaire. Paris : Découverte Gallimard.
Ryfman, P. (1999). La question de l’humanitaire : Histoire, problématiques, acteurs et enjeux de l’aide humanitaire internationale. Paris : Ellipses.
Ryfman, P. (2004). Les ONG. Paris : Repères.
Volontaires et Développement. (1994). La motivation des volontaires à travers les âges. Actes du colloque organisé par le DESS Développement et Coopération et l’AFVP.
Différents domaines sont à étudier pour mieux approcher la caractéristiques de la population que le projet va viser, et l’étude anthropologique prend alors toute son importance.
On peut citer ici brièvement quelques points principaux qui seront déterminants pour la suite du projet car ils apporteront un cadre qui influencera grandement les stratégies d’action qui seront décidées puis appliquées : âge et situation (enfant / adolescent / jeune adulte / adulte / personne âgée / couple / famille…) / pathologies visées (tout type de troubles ou plus spécifiques (autisme, addictions…) / lieu d’habitation (local ou plus largement régional, national…)…
Pattel (2008) avance cinq questions principales à se poser pour développer la prise en charge de santé mentale dans un nouvel environnement :
1. Où vont les personnes qui souffrent de problème psychologique ?
2. De quoi se plaignent-ils ?
3. Quelles sont les causes qu’ils attribuent à leur trouble ?
4. Quelle information donner au patient ?
5. Comment supporter la communauté de travailleurs sociaux et de santé ?
Il propose alors quelques pistes de réponse que l’on peut trouver en général dans les pays peu ou pas formés à la prise en charge moderne en santé mentale.
Par rapport aux lieux de consultations, les personnes vont habituellement en premier ressort vers les structures médicales non-spécialisées, vers les représentants religieux ou spirituels (temple, pagode, église…), ou vers la communauté (amis, parents…). En raison de la méconnaissance de la psychologie ou la psychiatrie, ou encore le peu d’offre disponible, ils vont rarement vers une structure spécialisée en santé mentale. Face à cela, il recommande alors deux actions prioritaires : travailler avec les « premières lignes » (centres médicaux non-spécialisés, religieux…), les rendre plus performants sur la prise en charge psychologique, les informer de l’existence de centres de consultations psychologiques ; et assurer une communication pour le public en rapport avec l’ouverture et le travail du centre de consultations psychologiques.
Aussi, les plaintes des patients se situent principalement autour de la souffrance physique : fatigue, absence d’énergie, mauvais sommeil, mal de tête, mal de dos… Les causes attribuées à leur trouble sont souvent liées à un évènement qui serait survenu dans la vie du patient (cause externe, souvent sociale : une personne en particulier, le travail…) ou avoueront leur ignorance des causes. Quoiqu’il en soit, les problèmes psychologiques sont très rarement mentionnés en premier lieu. Face à ces deux points précis, Patel recommande alors de lier le travail psychologique avec le secteur social et médical, et de connaitre les différentes structures existantes à proximité.
Enfin, dans la prise en charge, Patel insiste sur la nécessité d’informer le patient et d’adapter un langage clair, comportant des images adaptées à la compréhension du patient. Aussi, par rapport à un travail avec la communauté de travailleurs sociaux et de santé, Patel suggère la mise en place de supervision et une veille contre les effets du burn-out. Aussi, un point parait particulièrement important à prendre en compte : la différence qui peut exister entre « besoin » et « demande ». La « demande de la population en soins de santé mentale » et son « besoin en soins de santé mentale » devront être évalués, car c’est à partir de leur nature que le projet pourra se construire de façon appropriée. Aussi, il pourra avoir des écarts entre besoins et demandes.
Kochen (1975), distingue ainsi l’« état de besoin » [state of need] qui pourra ensuite se devenir une « sensation du besoin » [aroused state of need] ou bien une « perception consciente du besoin » [recognized state of need]. C’est à partir de l’un de ces deux états que le besoin pourra alors être exprimé [expressed need], et deviendra alors une demande [request].
Aussi, cette situation parait assez complexe car « dans certains états, le besoin peut être ressenti sans être reconnu ; dans d'autres, il peut être reconnu sans être ressenti » . Aussi, il s’agit alors d’identifier les différences entre besoins et demandes. Pour Kochen (1975), le chercheur doit alors faire une évaluation quantitative (c'est-à-dire combien de besoins ne sont pas convertis en demandes ?) et d'autre part en termes qualitatifs (quelles catégorie de besoins ne sont pas converties en demandes ?).
Par rapport à la santé mentale, on peut alors se demander si une population en besoin potentiel (toxicomanes par exemple) sera en mesure de reconnaitre ou ressentir le besoin d’un accompagnement psychologique et pourra alors exprimer sa demande. A l’inverse, on peut aussi penser à des populations en demande qui ne serait pas à proprement dire en besoin (par exemple certains parents qui vont penser, sous l’influence des médias, que leur enfant est autiste car il aura présenté une conduite d’opposition ).
L’évaluation de la demande/besoin de la population-cible est donc importante à réaliser car elle jouera un grand rôle dans l’accueil du projet sur le terrain. Aussi, pour favoriser la demande, et faire reconnaitre/ressentir le besoin, le centre pourra faire appel à une communication adaptée.
Références:
Kochen, M. (1975). Organizing Knowledge for Coping With Needs. Third International Study Conference on Classification Research. Bombay : India.
Patel, V. (2008). The New Movement for Global Mental Health. Intervention à la conférence “Intervention and Prevention of Vietnamese Children’s Mental Health Problems”. Conférence organisée par la Faculté des Sciences de l’Education (Université Nationale du Vietnam à Hanoi) et l’Université de Vanderbilt (Tennessee, U.S.A). 5 et 6 décembre 2008, Hanoi.
Références:
Cauvin, P. (1989). Un modèle pour gérer les organismes de service non-lucratif : la théorie des quatre corps. Cahier de l’ISMEA, revue des sciences de gestion.
Gaulejac (de), V., Bonetti, M. et Fraisse, J. (1989). L’ingénierie sociale. Paris : Editions Syros.et al. (1989).